dimanche 31 décembre 2017

Les voeux 2018

Bonjour à toutes et à tous !

Tristana se joint à AmiAuteur pour vous souhaiter un très bon réveillon, mais surtout une très bonne année 2018 !

Nous avons passé une année forte en émotions avec la publication de notre premier roman Les gens c'est pire que des personnes ! C'est l'accomplissement d'un rêve et de beaucoup d'heures de travail. Pour l'année 2018, nous espérons encore vous apporter une autre publication et continuer les dédicaces et les échanges autour du premier roman, bien sûr !

Nouvelle année, nouveaux objectifs, encore une fois, nous vous conseillons un article pour tenir vos bonnes résolutions (cliquez ici).

Encore une fois bonne année, bonne santé, tous nos vœux de bonheur, de partage et de réussite !


Bien à vous,

Marine de AmiAuteur 

mercredi 20 décembre 2017

Chapitre 1 - Extrait 7 - Les gens c'est pire que des personnes



Chapitre 1 - Extrait 7 : Mathilde

Lire le sixième extrait, ici. (ou reprendre du début, c'est par là => )

En claquant la portière du côté de Tom, il me semble entendre un cri. J’ouvre la porte du côté conducteur, les sourcils froncés. Un « Non » résonne. Je ne peux pas rester là sans rien faire. Penchée vers les enfants, je donne quelques recommandations. « Restez là les enfants, s’il y a un problème, courrez vers l’appartement. Enfermez-vous, maman arrive. ».
Je prends mes talons à la main pour courir plus vite. L’herbe est fraîche, humide ; les cailloux du petit chemin, beaucoup trop pointus. Mon cœur s’emballe, ce n’est pas le moment de se plaindre. Mon instinct me dit de foncer, mais mon esprit cartésien calme le jeu : je ne sais même pas me battre. Qu’est-ce que je pourrais bien faire face à un homme d’un mètre quatre-vingt-dix. Même devant n’importe quelle personne en fait.

Lorsque, exténuée et titubante, j’arrive sous le pont, une jeune fille en débardeur et jogging me tombe dans les bras, en pleurs et effrayée. Sa joue est dans un sale état, griffée et boursouflée. Je tente de la calmer, d’une main dans les cheveux. En arrière-plan, un homme grand et musclé se tient debout, une pagaie à la main. Une vague de stress m’envahit. Faut-il se mettre à courir dans le sens inverse le plus vite possible ? Je prépare mes talons comme arme. J’aperçois ensuite une pagaie, et enfin, juste devant lui, un corps inanimé. Je ne sais plus quoi faire. Ni mon instinct, ni ma logique ne m’aident. Quand il s’approche, je protège d’un bras la jeune femme. Je crie : « Ne vous approchez pas ! Qu’est-ce qu’il s’est passé ici ? » La joggeuse est toujours aussi angoissée. Son regard ne peut croiser le paysage du pont. Elle me supplie : « S’il vous plaît » et s’agrippe à mon épaule, sans plus d’explication. L’homme semble encore plus hébété. Je les dévisage tour à tour, plus perdue que jamais.

Pour lire la suite, c'est par ici =>


Pour acheter le roman, cliquer sur

jeudi 14 décembre 2017

Quelques histoires terrifiantes...

Après les articles sur les maladies et quelques personnages vampiriques, nous avons encre quelques histoires en stock pour vous glacer le sang...
Suite aux recherches pour son prochain livre, Tristana Erato nous a fait parvenir quelques histoires :

Le vampire de Dusseldorf

Arrêté en 1929, Peter Kuerten est exécuté en 1931 suite à l'assassinat de 29 jeunes filles. Il aurait bu leur sang avant de le étrangler.

Le mystère de la femme noire

Dans les années 30, le mystère règne à Paris. Une femme noire prendrait un peu de sang chaque soir à ses compagnons d'une nuit.

Le vampire de Londres

10 Aout 1949, John Haig est pendu pour le meurtre de 9 personnes. Il aurait plongé les corps dans un bain d'acide pour boire leur sang à la paille... Il semblait pourtant être un homme tout à fait courtois : employé de la city, moustache militaire et chemise toujours impeccable.

Le vampire de Hanovre

1925, Fritz Hermann (1879 - ...), allemand et homosexuel, est décapité suite à l'assassinats de 27 personnes dont 24 jeunes filles avec morsures au cou. 

Et vous avez vous entendu d'autres histoires intrigantes ?

mercredi 6 décembre 2017

Chapitre 1 - Extrait 6 - Les gens c'est pire que des personnes



Chapitre 1 - Extrait 6 : Mattieu

Lire le cinquième extrait, ici. (ou reprendre du début, c'est par là => )

Et c’est reparti pour un tour, un deux, un deux. J’aime aller du côté du port de Lille, il y a un vieux sous-marin rouillé, celui que l’on ne voit qu’au fond des mers. Cela me rappelle les vieux films que l’on regardait avec les parents. Pearl Harbour, ce genre de choses. Parfois, on se fait une soirée anciens films avec du panaché et du pop-corn.
La ville se réveille peu à peu, je fais demi-tour, un deux, un deux. Le petit bateau à moteur part, il va certainement travailler tous les matins. Quel délice ce doit être ! Glisser sur l’eau plutôt que de rouler sur le bitume, entouré de pots d’échappement asphyxiants. Respirer à pleins poumons.
Je laisse passer une poule d’eau et ses petits, regarde la nature. Il faudrait que j’emmène mes élèves ici, découvrir tout cet univers. A la recherche de la joggeuse, j’aperçois quelque chose d’intrigant sur le pont, près des résidences. Je passe la main dans mes cheveux, la laisse en visière sur mon front pour mieux voir. Un corps, penché sur un autre. Je m’approche lentement. Ma jolie tatouée se défend contre les coups d’un homme. J’accoste sur le champ, accours par de grandes enjambées et donne un coup de pagaie en plein dans la nuque de l’agresseur. J’entends un grand « Crac » et me dis que ma pagaie n’a pas tenu le choc. Effrayée et ensanglantée, la jeune femme s’enfuie en courant. 

Pour lire la suite, c'est par ici =>


Pour acheter le roman, cliquer sur

mercredi 29 novembre 2017

Ateliers d'écriture

AmiAuteurBonjour Tristana, nous avons écrit un article sur les ateliers d'écriture qui ont pû nous aider, chez AmiAuteur à comprendre l'écrivain et à l'aider à écrire. 
Tristana : Bonjour à tous. Je l'ai lu ! J'avoue avoir acheté le livre de Stephen King et avoir regardé de suite la vidéo de Werber. Ce sont des écrivains reconnus. 
AmiAuteur: Et toi, comment t'es tu formé à l'écriture ?
Tristana : Alors j'écris depuis très jeune, vers douze ans je dirais. J'écrivais des poèmes, mais surtout je créais des histoires dans ma tête pour m'endormir. J'ai voulu mettre ses histoires sur papiers et j'ai toujours écrit sur papier, ordinateur, en cours ou la nuit, jusqu'aux études supérieures...
AmiAuteurOn a déjà lu une de tes nouvelles lorsque nous étions en DUT Info-Com...
Tristana : Oui, doit-on en parler ? (rires) J'aimais beaucoup écrire de petites histoires mêlant mes camarades et les professeurs, jouant avec les tics de langages ou les mimiques, tournant les situations au ridicule... Il m'arrivait d'écrire suite à des demandes d'autres élèves.
AmiAuteur: Et tu terminais tes histoires ?
Tristana : Les nouvelles, oui, avec énormément de temps. J'attendais l'inspiration. J'écrivais différentes histoires mais n'en terminais qu'une tous les 6 mois ou un an, pour une nouvelle, ce n'est pas beaucoup ! J'avais commencé des romans sans les terminer.
AmiAuteur: Et tu as fait des ateliers d'écriture ?
Tristana : En quatrième, oui, ca remonte loin, j'avais gagné le concours d'écriture de ma classe en écrivant une scène très noire. Ca a été mes premiers écrits lus. Plus tard, en DUT, nous pouvions choisir quelques cours, j'ai bien évidement choisi le cours Atelier d'écriture. Et nous avons écrit des postiches, à la façon de, un cadavre exquis... C'était très troublant de lire les autres écrits, de découvrir les autres autrement. 
AmiAuteurEt pour écrire ton roman Les gens c'est pire que des personnes ?
Tristana : En fait, comme je l'avais dit, j'ai retravaillé sur l'écriture à la base : support, habitudes, plan, style... d'après vos conseils ! J'ai écrit selon vos conseils : écrire à la table d'un café, écrire sur le premier sujet qui passe, écrire tous les jours... 
AmiAuteur: Tout à fait, d'ailleurs nous écrivons toutes les semaines des conseils pour les auteurs qui souhaitent se lancer, le blog est à découvrir ici.


mercredi 22 novembre 2017

Chapitre 1 - Extrait 5 - Les gens c'est pire que des personnes



Chapitre 1 - Extrait 5 : Axelle

Lire le quatrième extrait, ici. (ou reprendre du début, c'est par là => )


Et mince ! J’ai déjà un point de côté. Quelle sportive je fais ! Allez courage Axelle. Je passe sous le pont, entre le port de Lille et la bibliothèque Max Dormoy. Souvent, des SDF dorment en haut, juste sous la voie, protégés des regards et des intempéries. J’ai toujours une pensée pour eux en passant. Cela peut arriver à n’importe qui. Parfois je me dis que si je venais à perdre mon emploi, je pourrais en arriver là. C’est à cents mètre de chez moi, même pas. C’est parce que j’ai peur, mais à chaque fois je me dis que je devrais leurs proposer un repas, une couverture, une douche, une nuit au chaud quand il fait trop froid. La peur de l’inconnu m’en empêche, comme tout le monde, je pense. L’idée reste lointaine, enfouie, relève de l’impossible.
Arrivée un peu après le deuxième pont, je regarde l’heure. Cela fait court, mais il faut déjà y retourner. Je dois encore prendre ma douche. Demi-tour toute.

Il fait beau ce matin. Derrière moi, j’entends quelqu’un siffloter sans y prêter attention. Je suis dans mes pensées lorsqu’un bruit, derrière, me fait me retourner. Arrêter de courir et se retourner dans un même geste me laisse chancelante. Un coup et je tombe à terre. Je tente de me redresser et de comprendre ce qu’il se passe mais un homme barbu, la quarantaine, s’abat sur moi. Une odeur âcre emplie mes narines. De suite, je me défends par des coups de pied, repousse d’un revers de bras, recule le dos au sol. Mon cœur bat à cent à l’heure. Ma concentration se fixe sur le combat. Du sang commence à couler sur ma joue. La panique s’élève d’un cran. J’entends un autre bruit dans mon dos et sens ma dernière heure arrivée.

Pour lire la suite, c'est par ici =>


Pour acheter le roman, cliquer sur

mardi 14 novembre 2017

Quelques vampires dans l'histoire

Si l'article sur les maladies proches du mythe du vampire ne vous a pas séduit, voici quelques histoires qui pourraient vous convaincre... ou passionner vos amis les soirs de pleine lune. Avis aux amateurs de soirée "Chairs de poule"
Voici après quelques recherches pour son prochain livre, des bribes d'histoire trouvées sur internet par Tristana Erato :

Peter Plogojowitz

Hongrie - 1725/26 : Peter Plogojowitz réapparaît après sa mort et tue huit personnes. Paysan serbe de 62 ans, il serait mort, mais revenu hanter son fils quelques jours plus tard. Le fils dû le nourrir, lorsqu'il refusa, celui ci fût retrouvé mort. Ainsi plusieurs personnes meurent d'affaiblissement. Peter serait revenu boire leur sang. Un officier décide d'ouvrir son cercueil, Peter est retrouvé, ses ongles ont continué à pousser, ses cheveux également, sa peau n'est pas attaquée... On le brûle et alors les morts cessent.

Arnold Paole

Serbie - 1732 : Arnold Paole est un vampyre connu. De ce moment apparait le mot vampire en Europe. Près de Belgrade, Arnold dit avoir été mordu par un vampire pendant son service militaire. Lorsqu'il meurt, plusieurs victimes sont mordues au cou elles aussi. Le médecin de l'armée décide donc d'ouvrir son cercueil : horreur, Arnold a encore du sang frais au coin de la bouche. Quand le médecin enfonce un pieu dans le coeur du prétendu mort, un cri rauque retenti.

Alexander Cepesi

Le gourou Alexander Cepesi est arrêté dans les années 70. Deux soirs par semaines, il organise des soirées vampires avec orgies. Une banque de sang est d'ailleurs créée. Il dit être un descendant de Dracula. Jusqu'au jour où une jeune femme est tué lors de l'une de ses soirées, et la secte démantelée.

Elisabeth Siddal

Angleterre - 1869 : Elisabeth Siddal est la femme de Dante Gabriel Rosseti, un poète et peintre. Elle est décédée d'une overdose de laudanum huit ans auparavant lorsque l'on décide de l’exhumer. Le cadavre est retrouvé intacte, ses cheveux roux poussent encore. Cette femme inspire Bram Stoker pour son livre The secret of the Gowing gold.


Et vous connaissez vous d'autres vampires illustres, autres que celui inventé par Bram Stoker Dracula ?


dimanche 29 octobre 2017

Vampire - Des maladies qui inspirent

Bonjour lecteur,

Voici quelques maladies qui auraient pu donner l'inspiration à certains Bram Stocker ou Ann Rice...

 - Épidémie de rage en Hongrie :
1721-1728 - La rage se propage chez le chien, la chauve-souris, le loup... et l'homme ! L'homme atteint par cette maladie erre la nuit, a des troubles nerveux, mord... Après 1725, la rage continue de toucher les populations en Autriche, Serbie, Pologne, Russie. Le mot moldave "Vampire" apparaît, il est ensuite entendu à Vienne en 1726 puis en France en 1732.

 - Le syndrome de Reinfeld :
Cette maladie pousse l'humain à boire du sang humain, plusieurs tueurs en série en son atteint. D'abord, le sujet subit un choc grave, souvent lorsqu'il est enfant, et où il est confronté au sang. Cela provoque chez lui une excitation. (Si vous connaissez la série Dexter, nous retrouvons l'histoire du tueur en série.) Parfois, l'individu passe par l'autovampirisme, il boit son propre sang, se mutile. Il peut aussi tomber dans la zoophagie, c'est à dire qu'il boit le sang d'animaux, comme le chien ou le chat, par simplicité. La dernière phase est le vampirisme clinique : le sang humain devient une drogue, la personne n'hésite pas à s'automutiler s'il n'a pas accès a du sang humain. Il repasse ensuite par les phases précédentes, vol les banques de sang, ou dans le pire des cas, tue ses semblables.

 - La Porphyrie : 
Cette maladie est dite du vampire en 1985, c'est une maladie du sang. Voici les troubles qui ont pu être noté : allergie à un des principes actifs de l'ail, destruction de l'épiderme suite à des expositions au soleil, dents et ongles qui virent au rouge, nécrose des gencives d'où une dentition plus remarquée, anémie alors traitée par le fait de boire du sang...

Avez vous d'autres exemples de maladies qui ont inspiré les auteurs ?


samedi 14 octobre 2017

Qu'est ce qu'un vampire ?

Un vampire a diverses caractéristiques immuables (peau pâle, canines allongées...) mais aussi quelques autres différentes selon le temps ou la fiction (faiblesses, mort, transformation...)

Voici des caractéristiques retrouvées dans diverses œuvres et légendes :
Un vampire se nourrit de sang, c'est une personne morte et à la fois immortelle, au teint pâle. Il a de longues canines pointues et sa température corporelle est nulle. L'état post mortem du vampire dépend parfois de son âge réel. 
Sa puissance lui vient de son âge, par exemple, un vampire plus âgé saura resister aux lieux saints, à l'au bénite, sera plus fort, plus rapide, on parle aussi de vision nocturne.
Un vampire n'a pas de reflet dans le miroir, ce qui peut aussi supposer qu'il n'a pas d'âme. Il n'aurait pas non plus de souffle, un symbole de l'âme également.
Il a besoin d'une invitation pour entrer dans une maison.
On parle aussi d'un don de séduction mais leur reproduction est impossible.
Dans les légendes anciennes, reprises par Bram Stocker (Dracula), on parle de transformation en chauve souris, et de langage animal. 

Faiblesses du vampires : il peut être repoussé ou blessé par un crussifix, de l'eau bénite, la lumière du soleil ou encore de l'ail. Leur empoisonnement peut-être grave s'ils boivent du sang de mort.
Pour les tuer : Il s'agit de planter un pieux dans le coeur, leur faire boire de l'eau bénite, de les brûler. Plus radicalement, un vampire mit à la lumière du jour se réduit en poussière, et nous pouvons aussi leur trancher la tête.

Pour empêcher les transformations : on pouvait mettre un rosier sur un cercueil, mettre une pierre dans la bouche, démembrer le corps du défunt, mettre la tête du mort entre ses jambes...

Et vous, connaissez vous d'autres caractéristiques ?

mercredi 4 octobre 2017

Chapitre 1 - Extrait 4 - Les gens c'est pire que des personnes

Chapitre 1 - Extrait 4 : Mathilde

Lire le troisième extrait, ici.

Les sacs à dos : le jus d’orange et le pain au Nutella dans le cartable cars ; le jus de pomme et les gâteaux en forme d’animaux pour le cartable superman. Les chèques pour la cantine. Il faut vraiment que je change mes horaires pour leurs faire à manger le midi. Dieu sait ce qu’ils mangent à l’école. Je ne sais même pas s’il y a des légumes au menu. Et s’il y en a, ils sont certainement contaminés par une multitude de pesticides. Je leurs laisse manger de la viande pour leur croissance, surtout du poulet, parce qu’ils sont petits. Mais après, quand ils grandiront, j’espère qu’ils ne mangeront pas de bœuf. Je continue le rangement des sacs. Le carnet de correspondance avec le mot signé. Celui de Tom, toujours aussi sage. Ma clé USB, la clé USB de secours pour la présentation de ce matin. Le peigne pour me recoiffer. La check-list okay, c’est parti.
J’essuie les bouches de Tom et Lucas maquillées de chocolat, pendant que leur père se lève. Grognement de mâle, grattouilles dans les cheveux, sur le torse et plus bas. Je lui tends un verre d’eau et une tartine beurrée. Il me les prend machinalement. « Tu les reprends ce soir ou c’est moi ? » Je me demande si c’est une question rhétorique. « Bonjour, d’abord. Je t’envoie un texto pour te confirmer ce midi. Mais j’ai ma présentation ce matin et donc réunion cet après-midi pour le briefing. » Nouveau grognement, charmant.

Je pousse les enfants dehors, attrape les trois sacs et fonce vers la voiture. « Allez les enfants, on se dépêche. Tom sort ton pouce de ta bouche et Lucas de ton nez, on est en retard ! » Il ne manquerai plus que je tombe sur la vieille dame et nous serons plus qu’en retard. Elle me répète tous les matins la même chose sur mes fils. Comme par exemple si ce sont des jumeaux ou comment ils s’appellent. Bon ça y est je crois que je n’ai rien oublié.
Pour acheter le roman, cliquer sur

vendredi 29 septembre 2017

Devinez le nom du prochain personnage principal


Vous êtes peut-être passé devant un magnifique mausolée du cimetière du père Lachaise, celui d'une baronne russe dans la 19e division. Impressionnant, il domine le cimetière, par son escalier gigantesque et ses colonnades. 
Une célèbre légende entoure la baronne : On raconte qu'une grande dame moscovite, très riche, s'est fait enterrer dans la 19ème division du cimetière. Au delà du monument impressionnant, se cache une  chapelle dallée de marbre et un cercueil en cristal de roche. La baronne aurait déposé son testament chez un notaire de Paris. Dans ce testament, celle-ci lègue toute sa fortune à la personne qui réussira à s'enfermer pendant un an dans son caveau de plus de 30 mètres de profondeur. Un an a veiller les cendres de la baronne pour empocher le jackpot.
On y raconte que plusieurs personnes s'y sont essayé... Mais personnes n'a réussi. 
Outre le fait angoissant de rester enfermé un an dans un caveau, de mystérieux phénomènes rendent les courageux fous. On parle d'un fantôme mais aussi d'un vampire. Et pour cause !

Sur la pierre tombale, vous pouvez découvrir plusieurs indices d'une présence vamirique :
- flambeaux avec la flamme vers le haut : symbole de vie après la mort.
- serpent : vie éternel
- Chat : symbole vampirique
- Marteau manche courte : vengeance
- Loutre : symbole de punition pour ceux qui veulent ce qui ne leur appartient pas.
- Blason : 3 dents de loup inversé, symbole de pouvoir, comme des canines de vampires.

« Ici reposent les cendres d'Elisabeth Démidoff née Baronne de Strogonoff. Décédée le 8 avril 1818. »

Élisabeth Alexandrovna Stroganoff et sa légende, de quoi écrire des milliers d'histoires.

Bien à vous,

dimanche 24 septembre 2017

Chapitre 1 - Extrait 3 - Les gens c'est pire que des personnes

Chapitre 1 - Extrait 3 : Huguette

Lire le deuxième extrait, ici.

Quelle vieille ! Mes articulations craquent à chaque geste que je fais pour me lever. Je n’ai pas réussi à m’endormir avant vingt-trois heures, voir minuit et à quatre heures du matin, je me retrouve déjà à tourner en rond dans ma cuisine. On dirait le chat quand il attend sa pâté. Un café, du pain, et de la confiture. Quelques gratouilles au chat. J’ai l’impression qu’il a changé de couleurs, ce n’est peut-être pas le bon. La dernière fois, j’ai fait rentrer le chat et je me suis rendue compte au matin, à la lumière, qu’il était roux et tigré. Le mien est noir. Ça m’a fait tilt.
J’ai encore faim. Un morceau de fromage dans la chicoré, ça c’est un petit déjeuner de chez nous. Une demi-heure plus tard, je me remets devant la télé comme d’habitude. De toute façon, je ne sais plus faire que ça : regarder.
A sept heure et quart, voilà le Tommy qui descend de la chambre. Enfin ! Quelle feignasse, ce chien ! Il va falloir le sortir après son morceau de pain du petit déjeuner. J’enfile mes chaussons et un peignoir, ce n’est pas comme s’il y avait du monde à cette heure-là. Ah si, il y a le beau jeune homme en barque, pour lui je veux bien mettre des chaussures et me coiffer avant de partir. J’espère le voir ce matin avec son marcel et ses beaux muscles. Ah et puis, il y a la petite joggeuse. Elle passe souvent, très polie et souriante. Ça fait du bien un bonjour, un sourire, un peu d’intérêt et me voilà revitalisée pour la journée.

Tommy est de plus en plus bas, j’ai du mal à l’attacher. Pourtant, les vieux rapetissent non, ce devrait être un avantage. « Allez Tommy, suis maman, on va promener. »
  Pour acheter le roman, cliquer sur

jeudi 14 septembre 2017

Présentation de la page consacrée aux Recherches

Bonjour à tous très chers lecteurs !

Nous ouvrons une nouvelle page dédiée aux recherches, nous espérons qu'elle vous apportera des informations intéressante et vous intriguera au sujet du prochain roman de Tristana Erato !

Vous le savez aujourd'hui, le premier roman de Tristana Erato, Les gens c'est pire que des personnes, est sortie au début du mois d’Août 2017. Mais comme nous l'avions expliqué, il y a eu un peu moins de deux ans d'écriture et de corrections. Un temps nécessaire pour que le livre soit publié et aidé par AmiAuteur.
Il s'est étiré un an entre la 3ème et dernière version et les diverses relectures. Les lectures pour savoir si le roman plaisait puis pour l'orthographe, et enfin les premiers lecteurs pour le plaisir.
Bref, tout ce temps où la plume de Tristana pouvait vaquer à ses occupations.

Aujourd'hui, nous démarrons donc une nouvelle section, sur les recherches préalables à l'écriture. Cela pourra vous convaincre du travail à réaliser avant écriture (voir le blog d'AmiAuteur) mais cela pourra aussi vous donner quelques indices sur la prochaine intrigue ! En espérant que le sujet vous passionnera...

A vos loupes !


Bises

lundi 11 septembre 2017

Mes habitudes d'écriture

AmiAuteurBoujour Tristana, aujourd'hui, nous voudrions, pour illustrer nos articles sur les habitudes et les supports d'écriture , que tu nous parles de tes débuts.
Tristana : Bonjour à tous. Bien sûr. J'écris depuis très jeune sur des bouts de papier, au coin de mes cahier d'école, sur ordinateur...
AmiAuteurEt pour écrire ton roman Les gens c'est pire que des personnes ?
Tristana : En fait, j'ai retravaillé sur l'écriture à la base : supporthabitudesplan, style... d'après vos conseils ! Je me suis rendue compte qu'écrire sur ordinateur devant des films n'étaient peut-être pas si bons pour la concentration... Notifications facebook, mails, mise en page à retravailler, et surtout histoire du fil sur la télévision ! Bref, j'ai revu mes habitudes.
AmiAuteurQuels supports utilises tu ?
Tristana : Je ne vous ai pas écouté sur un point, je dois vous faire la confidence. J'utilise un stylo plume que j'aime à la folie et qui est un objet de famille. Une fois, je l'ai perdu et j'ai eu beaucoup de mal à écrire. Trouver un stylo ressemblant, travailler la plume, essayer de m'y habituer... et enfin j'ai retrouvé le mien !
AmiAuteurAh, tu t'es donc remis au papier.
Tristana : Oui, parfois j'utilise un journal intime lorsque quelque chose me tracasse sur le long terme. J'évacue cela dans un petit journal au réveil. J'aime écrire au crayon de bois sur une feuille A4 pliée en deux lorsque je n'ai rien d'autre. J'aime les petits blocs note pour écrire des phrases inspirantes ou drôles, des mots qui me plaisent, des idées... Un cahier est une bonne idée également. Mais pour écrire, j'utilise de gros cahier à spirale format A4 à petits carreaux.
AmiAuteur: Et tu regardes toujours des films ?
Tristana : Non ! J'écoute de la musique par contre. Au départ, j'écoutais de la musique étrangère pour ne pas être déconcentrée par les mots français. Aujourd'hui, j'écoute des chanssons douces en français souvent, cela ne me perturbe plus. 
AmiAuteur: Et quand écris tu ?
Tristana : Je prends souvent des petites notes, j'ai parfois des idées que je couche directement dans un bloc note. Lorsque 'ai un proet d'écriture, j'essai de me programer des soires où je vais tôt dans mon lit, écrire un heure ou deux, avec un thé et de la musique...
AmiAuteur: C'est important de prendre ce temps pour soi. Et bien il ne nous reste plus qu'à rappeler à tout le monde que chacun à ses goûts, ses fonctionnements, et que pour trouver l'inspiration, il suffit de prendre de bonnes habitudes

Retrouvez l'article sur les habitudes d'écriture ici, ainsi que nos conseils pour le choix des supports ici.. 

samedi 2 septembre 2017

Chapitre 1 - Extrait 2 - Les gens c'est pire que des personnes

Chapitre 1 - Extrait 2 : Axelle

Lire le premier extrait, ici.

Mince ! Je suis encore et toujours en retard. Tant pis, je saute dans mes basquettes, le ventre vide et pars courir. Il faudra juste diminuer le jogging de dix minutes. Partir travailler sans courir, ce n’est pas possible, ou alors je change de métier. Il faut que j’abaisse la tension… Je m’imagine bien crier sur mon responsable, lancer un verre d’eau à une collègue usante ou mal répondre à un client collant ; convoquée chez le directeur qui me demanderai la raison de cet énervement, je répondrais « Excusez-moi Monsieur, je n’ai pas couru ce matin… » Quoi que, le directeur étant un sportif connu, cela pourrait peut-être marcher. On se retient tout le temps de dire ou faire ce qui nous passe par la tête, jusqu’au jour où un détail nous fait craquer… Comme ne pas faire son jogging du matin.

Allez, il faut se motiver à sortir. J’espère juste ne pas tomber sur musclor avec son kayak ou je ne sais quoi. Il est plutôt du genre lourd et moi du genre à avoir besoin de me concentrer pour courir. On dirait qu’il me drague, enfin c’est même sûr. La dernière fois, je crois avoir vu ses muscles se contracter pendant qu’il me regardait. Il fait comme dans les films où les bodybuildés bougent un à un leur pectoral, je crois. Cela me donne toujours envie de rire. Par contre, j’espère bien voir la jeune maman sur le retour. Normalement, c’est l’heure où elle sort, elle aussi en retard avec ses deux enfants. Ils sont mignons. Allez, Axelle, c’est parti pour une demi-heure. Enfin, vingt minutes du coup. Pour acheter le roman, cliquer sur

jeudi 17 août 2017

Premiers livres expédiés

Et voilà les premiers livres de "Les gens c'est pire que des personnes !" ont été expédié, je dirai même plus, ils sont pour la moitié déjà reçus !

Pour vous décidez ou pour le plaisir des yeux voici quelques photos du format papier :




Le livre passe dans votre boite aux lettres comme une lettre à la poste !

Pour ceux qui ont adopté une liseuse ou qui préfère lire sur téléphone portable ou tablette, le livre est toujours disponible au format numérique sur Amazon, cliquez sur l'image :



mercredi 9 août 2017

Chapitre 1 - Extrait 1 - Les gens c'est pire que des personnes

 Chapitre 1 - Extrait 1 : Mattieu


Il est sept heures ; comme tous les matins de la semaine, je fais une séance d’aviron. Je gars mon Audi blanche au bas des résidences. Elles sont tranquilles, encore endormies. Comme une majeure partie du quartier des bois blanc d’ailleurs. Je respire à fond, et m’échauffe, une deux, une deux, et me jette à l’eau. Cela me libère l’esprit. Mes muscles bandés font avancer l’embarcation. Mon cerveau se repose. En même temps, sans rien faire de plus, les muscles attirent les filles. Elles sont nombreuses à me sourire lors de mes diverses séances d’entraînement. Un deux, un deux.

Je glisse sur l’eau paisible. Pas de bruit, juste un battement d’ailes de temps à autres. Une légère brume au ras de l’eau. La Deûle est d’huile aujourd’hui ; je la fends à coups de pagaies. Je n’ai pas encore vu ma petite joggeuse tatouée dans sa petite tenue moulante. Le soleil tape sur ma peau. C’est dommage, mes muscles sont saillants. Ils brillent grâce à l’huile que je mets chaque matin. Je vais refaire un tour, au cas où je la verrai. Un jour, je lui parlerai. Je veux dire plus que pour lui dire bonjour en bégayant. La dernière fois, j’ai même fait tomber ma montre en la saluant du bras…

La suite, ici.

Pour acheter le roman, cliquer sur l'image : 

mercredi 2 août 2017

L'idée

AmiAuteurDis nous en plus sur l'histoire. Comment est venue l'idée ?
Tristana : Oh ça va être long à expliquer... Par quoi commencer ?
AmiAuteurLe lieu, les personnages...
Tristana : Le lieu, et bien, je suis née à Lille alors qui de plus facile que de choisir sa ville pour y faire entrer des personnages ? Je me mettais souvent à mon balcon pour regarder les abords de la citadelle et il y avait des joggeurs, des promeneurs avec leur chien, des familles...
AmiAuteurDes joggeurs... Comme le personnage d'Axelle ?
Tristana : Oui. Je pense que beaucoup de femmes ont déjà eu un sentiment de peur, d’oppression en se promenant seule, d'où l'idée de l'agresseur...
AmiAuteurJ'ai déjà couru et suis passée sous un pont avec cette sensation, c'est je pense là que je me suis mis dans la peau d'Axelle... Et pour Mattieu ?
Tristana : Je voyais un homme tous les matins en partant travailler, il faisait du rameur... Et puis je pense avoir aussi pensé à mon prof de sport au collège.
AmiAuteur: Le prof grand et musclé qui fait rougir toutes les jeunes filles, je vois ! Passons à Mathilde.
Tristana : Mathilde... C'est la jeune maman de l'histoire, un peu dépassée entre son rôle de mère, d'épouse et de salariée. Elle est imaginé de toute pièce, son image m'est apparu en voyant une voisine fumer sur le balcon d'en face, elle avait l'air stressé... 
AmiAuteur: Et nous avons gardé le meilleur pour la fin... Huguette ?
Tristana : Ah Huguette, je ne connais pas son vrai prénom... Mais elle existerai presque, c'est d'elle que m'est venu l'idée de l'histoire en fait. Il y a une vieille dame qui promène son chien tous les jours et à l'heure où la plupart des employés sortent travailler. On dirait qu'elle connait tout le monde. Les personnes sur les péniches, l'étudiante qui part prendre le métro, le chien du vieux monsieur de la rue parallèle. Un jour, je l'ai entendu parlé et j'ai été déconcertée. Elle parlait Ch'ti et je me suis dit que j'aimerai bien la connaître, qu'elle devait être drôle ! 
AmiAuteur: D'où l'idée de faire se rencontrer les passants de ta rue ?
Tristana : Oui c'est à peu près cela. Il fallait juste un coup du sort pour les faire se rencontrer... et se lier d'amitié...
AmiAuteur: Et pour connaître le point de départ de cette histoire, j'invite nos lecteurs à acheter ton roman Les gens c'est pire que des personnes ! sur Amazon.

dimanche 30 juillet 2017

Pourquoi AmiAuteur ?

AmiAuteur: Pourquoi avoir choisi AmiAuteur pour t'aider ?
Tristana : Bon, nous n'allons pas mentir, nous nous connaissons toi et moi, et je savais que tu pourrais m'aider.
AmiAuteur: Alors qu'est ce qui te plais dans le concept ?
Tristana : J'aime écrire. Beaucoup. Mais je n'avais aucune idée de comment faire parvenir mes écrits aux lecteurs. J'ai bien quelques amis pour me lire mais ensuite... ?
AmiAuteur: Tu avais peur qu'ils ne soient pas objectifs ?
Tristana : C'est tout à fait ça ! Et puis j'avais besoin d'un autre regard, de réécrire plusieurs fois finalement, mais aussi de savoir quels étaient les points à travailler.
AmiAuteur: C'est là que AmiAuteur intervient.
Tristana : Oui, et puis je n'y connais rien en promotion, marketing, où et comment publier... Je n'aurais jamais osé publier sur Amazon seule.
AmiAuteur: Et Stéphane t'a corrigé.
Tristana : Oui. C'est difficile de se corriger, on passe au dessus de pas mal de fautes lorsque nous écrivons. Et j'avoue que je déteste me relire, surtout si c'est une vingtaine de fois !

mercredi 26 juillet 2017

Premier roman en vente


Les gens c'est pire que des personnes

Voici enfin le roman de Tristana Erato en version numérique... et papier !

Voilà qui promet une bonne lecture.
Si vous avez un jour souhaité tuer votre patron, si vous avez fantasmé sur la voisine d'en face, si dans votre tête vous êtes bien plus jeune, alors ce livre est fait pour vous...

dimanche 26 mars 2017

Les gens c'est pire que des personnes ! - Bientôt la publiccation

L'idée, d'abord.
Les personnages, ensuite.
Le lieu, aussi.

Et puis la rencontre finalement. La découverte de chaque personnage.
La première version, très vite remplacé par une deuxième puis une troisième.

La relecture, la mise en page et de multiples vérifications.

Deux corrections complètes, encore une dernière et...


Bientôt la publication !

Les gens c'est pire que des personnes ! 
Roman bientôt en vente sur Amazon et Kobo