mercredi 29 novembre 2017

Ateliers d'écriture

AmiAuteurBonjour Tristana, nous avons écrit un article sur les ateliers d'écriture qui ont pû nous aider, chez AmiAuteur à comprendre l'écrivain et à l'aider à écrire. 
Tristana : Bonjour à tous. Je l'ai lu ! J'avoue avoir acheté le livre de Stephen King et avoir regardé de suite la vidéo de Werber. Ce sont des écrivains reconnus. 
AmiAuteur: Et toi, comment t'es tu formé à l'écriture ?
Tristana : Alors j'écris depuis très jeune, vers douze ans je dirais. J'écrivais des poèmes, mais surtout je créais des histoires dans ma tête pour m'endormir. J'ai voulu mettre ses histoires sur papiers et j'ai toujours écrit sur papier, ordinateur, en cours ou la nuit, jusqu'aux études supérieures...
AmiAuteurOn a déjà lu une de tes nouvelles lorsque nous étions en DUT Info-Com...
Tristana : Oui, doit-on en parler ? (rires) J'aimais beaucoup écrire de petites histoires mêlant mes camarades et les professeurs, jouant avec les tics de langages ou les mimiques, tournant les situations au ridicule... Il m'arrivait d'écrire suite à des demandes d'autres élèves.
AmiAuteur: Et tu terminais tes histoires ?
Tristana : Les nouvelles, oui, avec énormément de temps. J'attendais l'inspiration. J'écrivais différentes histoires mais n'en terminais qu'une tous les 6 mois ou un an, pour une nouvelle, ce n'est pas beaucoup ! J'avais commencé des romans sans les terminer.
AmiAuteur: Et tu as fait des ateliers d'écriture ?
Tristana : En quatrième, oui, ca remonte loin, j'avais gagné le concours d'écriture de ma classe en écrivant une scène très noire. Ca a été mes premiers écrits lus. Plus tard, en DUT, nous pouvions choisir quelques cours, j'ai bien évidement choisi le cours Atelier d'écriture. Et nous avons écrit des postiches, à la façon de, un cadavre exquis... C'était très troublant de lire les autres écrits, de découvrir les autres autrement. 
AmiAuteurEt pour écrire ton roman Les gens c'est pire que des personnes ?
Tristana : En fait, comme je l'avais dit, j'ai retravaillé sur l'écriture à la base : support, habitudes, plan, style... d'après vos conseils ! J'ai écrit selon vos conseils : écrire à la table d'un café, écrire sur le premier sujet qui passe, écrire tous les jours... 
AmiAuteur: Tout à fait, d'ailleurs nous écrivons toutes les semaines des conseils pour les auteurs qui souhaitent se lancer, le blog est à découvrir ici.


mercredi 22 novembre 2017

Chapitre 1 - Extrait 5 - Les gens c'est pire que des personnes



Chapitre 1 - Extrait 5 : Axelle

Lire le quatrième extrait, ici. (ou reprendre du début, c'est par là => )


Et mince ! J’ai déjà un point de côté. Quelle sportive je fais ! Allez courage Axelle. Je passe sous le pont, entre le port de Lille et la bibliothèque Max Dormoy. Souvent, des SDF dorment en haut, juste sous la voie, protégés des regards et des intempéries. J’ai toujours une pensée pour eux en passant. Cela peut arriver à n’importe qui. Parfois je me dis que si je venais à perdre mon emploi, je pourrais en arriver là. C’est à cents mètre de chez moi, même pas. C’est parce que j’ai peur, mais à chaque fois je me dis que je devrais leurs proposer un repas, une couverture, une douche, une nuit au chaud quand il fait trop froid. La peur de l’inconnu m’en empêche, comme tout le monde, je pense. L’idée reste lointaine, enfouie, relève de l’impossible.
Arrivée un peu après le deuxième pont, je regarde l’heure. Cela fait court, mais il faut déjà y retourner. Je dois encore prendre ma douche. Demi-tour toute.

Il fait beau ce matin. Derrière moi, j’entends quelqu’un siffloter sans y prêter attention. Je suis dans mes pensées lorsqu’un bruit, derrière, me fait me retourner. Arrêter de courir et se retourner dans un même geste me laisse chancelante. Un coup et je tombe à terre. Je tente de me redresser et de comprendre ce qu’il se passe mais un homme barbu, la quarantaine, s’abat sur moi. Une odeur âcre emplie mes narines. De suite, je me défends par des coups de pied, repousse d’un revers de bras, recule le dos au sol. Mon cœur bat à cent à l’heure. Ma concentration se fixe sur le combat. Du sang commence à couler sur ma joue. La panique s’élève d’un cran. J’entends un autre bruit dans mon dos et sens ma dernière heure arrivée.

Pour lire la suite, c'est par ici =>


Pour acheter le roman, cliquer sur

mardi 14 novembre 2017

Quelques vampires dans l'histoire

Si l'article sur les maladies proches du mythe du vampire ne vous a pas séduit, voici quelques histoires qui pourraient vous convaincre... ou passionner vos amis les soirs de pleine lune. Avis aux amateurs de soirée "Chairs de poule"
Voici après quelques recherches pour son prochain livre, des bribes d'histoire trouvées sur internet par Tristana Erato :

Peter Plogojowitz

Hongrie - 1725/26 : Peter Plogojowitz réapparaît après sa mort et tue huit personnes. Paysan serbe de 62 ans, il serait mort, mais revenu hanter son fils quelques jours plus tard. Le fils dû le nourrir, lorsqu'il refusa, celui ci fût retrouvé mort. Ainsi plusieurs personnes meurent d'affaiblissement. Peter serait revenu boire leur sang. Un officier décide d'ouvrir son cercueil, Peter est retrouvé, ses ongles ont continué à pousser, ses cheveux également, sa peau n'est pas attaquée... On le brûle et alors les morts cessent.

Arnold Paole

Serbie - 1732 : Arnold Paole est un vampyre connu. De ce moment apparait le mot vampire en Europe. Près de Belgrade, Arnold dit avoir été mordu par un vampire pendant son service militaire. Lorsqu'il meurt, plusieurs victimes sont mordues au cou elles aussi. Le médecin de l'armée décide donc d'ouvrir son cercueil : horreur, Arnold a encore du sang frais au coin de la bouche. Quand le médecin enfonce un pieu dans le coeur du prétendu mort, un cri rauque retenti.

Alexander Cepesi

Le gourou Alexander Cepesi est arrêté dans les années 70. Deux soirs par semaines, il organise des soirées vampires avec orgies. Une banque de sang est d'ailleurs créée. Il dit être un descendant de Dracula. Jusqu'au jour où une jeune femme est tué lors de l'une de ses soirées, et la secte démantelée.

Elisabeth Siddal

Angleterre - 1869 : Elisabeth Siddal est la femme de Dante Gabriel Rosseti, un poète et peintre. Elle est décédée d'une overdose de laudanum huit ans auparavant lorsque l'on décide de l’exhumer. Le cadavre est retrouvé intacte, ses cheveux roux poussent encore. Cette femme inspire Bram Stoker pour son livre The secret of the Gowing gold.


Et vous connaissez vous d'autres vampires illustres, autres que celui inventé par Bram Stoker Dracula ?